Pour plus de plaisir au lit, votez gedwyr ▬ JACKS

Citation :: jàckson ariel, gedwyr

on est les fils de pute les plus chanceux du monde.

› NOM Gedwyr, on ne choisit ni sa famille, ni son nom. › PRÉNOM Jàckson, oubliez le deuxième, je préfère largement que l'on m'appelle Jacks. Ariel, mes parents adoraient tellement la sainte bible, qu'il se sont creusés la tête pour l'honorer. › ÂGE 26 ans, l'âge de me caser et de me marier selon mes parents. › NATIONALITÉ américaine et canadienne, la classe tout simplement. › MÉTIER fleuriste aujourd'hui mais qui sait ce que demain je ferai. › SITUATION CIVIL célibataire la journée, accompagné la nuit, c'est la dure vie d'un fucker. › DATE DE NAISSANCE t'es sûr que ça t’intéresse ça ? Bref, je suis né le vingt-cinq avril dix-neuf cent quatre-vingt six. › LIEU DE NAISSANCE Je n'ai jamais bougé, jamais déménagé. Ma ville reste la même et ça me plait plutôt bien Trenton. › À TRENTON DEPUIS t'es bête ou quoi ? je te l'ai dit, depuis toujours. › GROUPE seas of love, plutôt ironique sachant que je suis célibataire et libertin. Mais je suis tombé d'amour pour elle.

☍ il a grandit dans une famille très catholique. ☍ il n'a jamais cru en Dieu et adore s'en foutre complètement ☍ il a l'air d'un gros connard à la première rencontre ☍ il adore sa meilleure amie et devient jaloux lorsqu'il la voit avec un autre homme ☍ il a une petite sœur mais ses parents les ont eu très tard. ☍ il est complètement à l'opposé de ce que sa famille pense de lui ☍ ☍ sa sœur, c'est son bijou, il adore passer son temps avec elle ☍ il passe souvent ses journées défoncé ☍ il connait les meilleurs endroits pour faire une fête ☍ il se gâche complètement car au fond, il est capable de suivre de grandes études ☍ autrefois blessé par l'amour, il a décidé de profiter de la vie mais il se pourrait que l'amour le rattrape au galop ☍

Spoiler:

~ a lot like a tragedy now

Mads, je suis sûr que tu n'es pas capable de mettre ce vieux dégueulasse dans ton lit. Jàckson pointa du doigt l'homme en question. Un gros beauf qui essayait de se faire toutes les nanas du club. Des défis, Mads en avait relevé mais celui-là était particulièrement corsé. Pourtant, même si cet homme le répugnait, Madisson ne rechignait jamais à la tâche. J'ai bien peur que tu te trompes monsieur Gedwyr. Rendez-vous à l'appart dans une heure, j'en aurais fini avec lui. Fière comme un coq et consciente de son sex-appeal, Mads but d'une traite sa vodka et se dirigea vers son passe-temps de cette nuit. Au bout de dix minutes et après s'être fait offert un verre, elle quitta le club au bras de l'homme qui la répugnait. Au bar, Jàcks regardait, avec un grand sourire, sa sœur dégoutée. Ce dernier aimait lui lancer des paris comme celui-ci depuis leur plus tendre enfance. Les enfants Gedwyr avaient toujours été proches et pourtant, ils avaient une différence d'âge. Qu'importe, pour Mads son grand frère, c'était comme sa propre vie. Ils aimaient le même rock, les mêmes soirées, les mêmes fumettes. Ces deux-là ne se séparaient à vrai dire jamais. Elle l'aimait son frère, putin, elle en était folle mais ce soir-là dieu sait comment elle pouvait le détester. Elle pensait déjà au prochain défi bien dégueulasse qu'elle allait lui lancer pendant que l'autre se dépensait à essayer de la faire jouir. A voir sa tête, Mads aurait plutôt eut envie de vomir mais sa fierté était bien trop forte pour perdre face à son frère. Elle savait que dans ce cas, il n'hésiterai pas à lui rappeler la fois où, elle n'a pas eu le cran de relever son défi. Ça, elle savait qu'elle ne l'accepterait jamais. Au retour de Jàcks à l'appartement, Mads avait déjà viré son amusement de la soirée mais avait gardé sa chaussette comme preuve. Regarde-moi ça microbe, si ça c'est pas du beau travail. Prépare-toi à ma revanche mon petit. Munie d'une pince à linge où pendait la chaussette de son casse-croûte, Mads courut après le jeune homme pour bien lui préciser que rien ne lui faisait peur même pas un monsieur tout dégueulasse et tout poilu. J'ai déjà ton prochain défi. Dimanche à la messe, tu devras courir nu dans l'église. Des paris, elle en avait plein la tête mais le plus marrant était lorsqu'ils pouvaient piétiner sur la religion qui les avaient empêchés de vivre lorsqu'ils étaient plus jeunes. T'es folle microbe, il va avoir tous les amis à papa et maman. Oh et puis, c'est bien ça le plus marrant, tu as raison.

Boa, putin tu fais chier, dépêche-toi on va être en retard. Téoxanne, comme d'habitude, traînait dans sa salle de bain pour se pomponner alors qu'en bas de l'immeuble Jàckson l'attendait dans sa voiture. Comme pour signifier au conducteur qu'elle n'aimait pas qu'on la presse, Teo en profita pour prendre encore plus de temps et ce, malgré que son colocataire Alvin râlait pour avoir la place. Dix minutes plus tard, ce fut une jeune femme toute pimpante et clope au bec qui s'installa sur le siège avant de la voiture. Tu sais très bien que quand mes parents donnent une heure de rendez-vous, ils n'aiment pas qu'on soient en retard. Tu foutais quoi la grosse ? Teo, de son air boudeuse, mit un coup de poing sur l'épaule de Jàcks qui gémit de douleur. Les parents du jeune homme était du genre super strict et en plus de ça, très catholiques. Ils ne supportaient pas un seul mot de travers et encore moins le retard. Oui, Teo était au courant mais elle adorait foutre la merde chez eux en les entendant la critiquer à chaque fois. Pourquoi tu m'emmènes toujours dans tes repas de famille aussi toi ? Je parie que je vais encore devoir faire la prière. Tu peux pas leur dire que vu toutes les fois où j'ai écarté les jambes, Dieu doit déjà penser à m'achever ? C'est vrai quoi, Teo n'était pas du genre chrétienne mais alors pas du tout. Déjà naître dans une famille avec deux parents homosexuels, ça vous oblige un peu à être refuser aux portes des églises. Quand les parents de Jàckson évoquaient le pape et demandaient à Téoxanne si ses parents n'avaient toujours pas changé d'avis alors là, c'était le pompon pour la jeune femme. Tu sais très bien qu'ils aiment quand j'amène ma meilleure amie pour dîner. Puis, dans le jacuzzi, on ne l'a pas encore tenter toi et moi. Il posa sa main sur la hanche de sa passagère et lui jeta un regard qui voulait tout dire. Jàckson était le meilleur ami de Teo, elle savait très bien qu'à lui, elle pouvait tout dire. Mais, ils étaient aussi amants où rien que le sexe primait. Entre eux, tout a toujours été clair, ils ne ressentent aucun sentiment l'un pour l'autre, de toute façon, ils se l'interdisaient. Puis, ils ne se réservaient pas que l'un pour l'autre, chacun de son côté avait aussi d'autres amants dont ils aimaient parler. Officiellement pour se vanter et pour gagner la compétition de qui aura le plus d'amants, officieusement pour rendre totalement jaloux son partenaire sexuel. Tous les quinze jours, lorsqu'ils allaient manger chez les vieux cathos, Jacks et Teo le faisaient dans une nouvelle pièce du château où ils demeuraient. Et tout ça, lorsque les parents étaient présents dans le domaine. C'était un genre de jeu excitant de ne pas se faire prendre par ces deux conservateurs qui pensaient qu'ils n'étaient qu'amis et qu'ils aimaient bien jouaient à la belote. Foutaise, Teo était une grosse salope qui aimait se faire des mecs et elle le revendiquait très souvent.

Il serait temps que tu te mettes au travail Gedwyr, je te paye pas pour rien faire. Jàcks assit sur une siège, les pieds sur le bureau, lisait le dernier playboy à la vue de tous. Enfin par lire, vous voyez ce que je veux dire. Il ne prêta même pas attention aux paroles de son patron. Je vois que tu te débrouilles très bien sans moi donc je voulais pas t'embêter. Il mâchait son chewing-gum et continua à parcourir son magazine pendant que son patron soufflait à la vue de ce feignant. Il était bon ce patron. Cela faisait cinq ans qu'il employait Jàckson alors qu'il ne foutait rien de sa journée. C'était bien parce qu'il respectait les parents Gedwyr sinon le jeune homme serait dehors depuis longtemps. Soudain, d'un seul bond, il vit son employé se lever et se dirigeait vers une cliente. Il savait déjà que ça bougeait dans le caleçon de monsieur. Il regarda la scène du comptoir, tout en servant une vieille dame. Dix minutes plus tard, la cliente que Jàcks draguait repartait avec un bouquet au bras sans même être passé par le comptoir et un grand sourire sur son visage. Gedwyr, dis-moi pas que tu lui as encore offert des fleurs ? Je vais finir par te les prendre sur ton salaire toutes les fleurs non payées. Jàcks, fier comme un coq, repris sa place habituelle et recommença à feuilleter Playboy. Tu n'as pas vu son beau petit cul patron ? je lui ai offert en échange de son numéro, ce soir, ça va être boom boom chicka wah wah avec elle. Désespéré, son patron continua son travail sans même faire attention à son employé. Quand on regardait Jàcks, on se demandait comment ses parents, catholiques comme ils sont, n'étaient pas encore devenus fous. En vrai, quand il avait ses parents sur le dos, monsieur Gedwyr était un tout autre homme, petit garçon à sa maman qui ne parlait jamais de sa vie extérieure.